LES JANUS DE LA POLITIQUE Chroniques barbares XIII
Une œuvre de Philippe Randa
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782353743049, vendu 25 € et classé au rayon « Littérature », publié le 05 février 2016 par les éditions Dualpha dans la collection « Politiquement i », d'un poids de 500 grammes et large de 150 millimètres pour 210 de haut.
(Chroniques barbares – XIII)
Janus, dieu romain des commencements et des fins, des choix, du passage et des portes, est représenté avec une face tournée vers le passé, l’autre sur l’avenir. Mais en jargon informatique, un Janus est un faux-nez… Philippe Randa excelle dans la brièveté. Sinon tout, du moins l’essentiel est écrit en une page, rarement deux et demie. Cette concision fait rêver… Et en plus – comme son père Peter avant lui – il a le sens de la formule percutante. Le ton général est celui de l’humour, où la bonne humeur domine plus souvent que l’indignation. Philippe Randa a compris que l’ironie est stérile en plus d’être destructrice, étant le témoin d’un mépris profond pour la tragédie de la condition humaine. Tout naturellement, il opte pour l’humour, obligatoirement teinté d’autodérision, parfaitement adapté à la comédie humaine… et, en France, depuis les années 1980, nous sommes particulièrement gâtés en matière de comédie, même si le milieu (dans toutes les acceptions de ce terme) de la politique et des media asservis manque singulièrement d’acteurs géniaux. Son préfacier, le Dr Plouvier pense pour sa part que « Les chroniques de Philippe sont comme les friandises pour un enfant (ou un grand vieillard : c’est presque identique). On les attend avec avidité, on les déguste et on trouve ce moment de petit bonheur beaucoup trop court. »
Philippe Randa, chroniqueur politique et éditeur, est l’auteur de plus d’une centaine de livres. C’est un sociétaire de l’émission « Bistrot Liberté » sur TVLIbertés. Il est un ancien auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Ses chroniques politiques sont publiées chaque année en recueil sous le titre : « Chroniques barbares ».