Laszlo Szabo, un « maréchal » de la Légion
Une œuvre de Philippe de Parseval
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782353744046, vendu 25 € et classé au rayon « Histoire », publié le 10 novembre 2018 par les éditions Dualpha dans la collection « Vérités pour l'Histoire », large de 150 millimètres pour 210 de haut et comportant 216 pages.
Hongrie 1942 : Laszlo Szabo n’avait pas treize ans lorsqu’il a été retiré à l’affection de ses parents et envoyé comme travailleur forcé en Allemagne tandis que son père était embrigadé dans la campagne de Russie dont il revint pour mourir de ses blessures. À la fin de la guerre, Laszlo n’a d’autre solution que de s’engager dans la Légion étrangère, comme beaucoup de ses compatriotes. Au fil de ces pages nous suivrons sa fabuleuse carrière à travers les guerres d’Indochine et d’Algérie et son ascension dans la hiérarchie de ce corps de troupe exceptionnel. Pierre Sergent, ancien officier de Légion et auteur de nombreux ouvrages, n’a pas forcé le verbe en titrant un de ses livres Les Maréchaux de la Légion, il a affirmé une vérité, les ayant vu à l’œuvre en Indochine et en Algérie. Il connaissait bien la valeur de ces hommes lorsqu’il écrivait : « Tels sont ces sous-officiers qui font la force de la Légion et dont les meilleurs mériteraient de porter, avec le galon d’adjudant-chef, le cercle d’or des Maréchaux de France sur lequel sont gravés ces mots “Terror Belli, decus pacis”, “terreur de la guerre, honneur de la paix”. » Quel que soit le motif qui les a poussés à s’engager, ces hommes ont voué une partie de leur vie au service de la France qui les a accueillis dans la famille Légion qu’ils ont servie avec honneur et fidélité.
Officier Saint-Cyrien, Philippe de Parseval a eu l’honneur de servir à la Légion étrangère. Ses diverses affectations lui ont permis de rencontrer des soldats exceptionnels, aux motivations diverses, mais toujours animés par la ferme résolution de servir avec honneur et fidélité. À travers leur biographie, il a décrit les guerres que notre pays a subies depuis près d’un siècle. Il propose aujourd’hui celle de l’adjudant-chef Laszlo Szabo, à la carrière particulièrement exemplaire, un « Maréchal de la Légion » comme les appelait le capitaine Pierre Sergent.