Hélie Denoix de Saint Marc, entre honneur et sainteté
(Préface de Père Christophe Kowalczyk, aumônier catholique du 2e REI)
Une œuvre de Jean-Pierre Brun
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782353744190, vendu 25 € et classé au rayon « Histoire », publié le 10 février 2019 par les éditions Dualpha dans la collection « Vérités pour l'Histoire », d'un poids de 274 grammes, large de 150 millimètres pour 210 de haut et 11 d'épaisseur et comportant 208 pages.
Pourquoi à des étudiants américains qui lui demandent quel est l’homme qui, en trente ans de journalisme, l’a le plus impressionné, Robert Soulé, grand reporter à France soir, répond-il sans hésitation « Hélie de Saint Marc ! » ? Pourquoi le modeste légionnaire allemand Karl Ulbricht considère-t-il Hélie de Saint Marc, son capitaine et aîné de sept ans seulement, comme un père en qui il peut avoir toute confiance. Pourquoi l’avocat général Reliquet qui requiert contre Saint Marc lors de son procès, reconnaît-il en lui « un soldat héroïque » ? Pourquoi le général Challe dit-il de Saint Marc qu’il est certainement le plus pur de tous, alors que le capitaine Sergent affirme que la conscience de son camarade est de cristal ? Pourquoi un officier du 1er REP évoque-t-il la pureté quasi sacerdotale de Saint-Marc ? Pourquoi le général Zeller est-il tenté d’utiliser le terme « saint » pour qualifier Saint Marc qui, à ses yeux, paraît ne mériter aucun reproche ? Héros ? Saint ? Bayard ou Louis IX de son époque ? Cet ouvrage s’efforce de répondre à cette rafale de questions qui prouvent bien que l’homme ne laissait personne indifférent.
Au sortir d’une jeunesse algérienne et de l’avortement d’une vocation militaire qui a irrémédiablement fait « putsch » en 1961, Jean-Pierre Brun, s’est reconverti en juriste de terrain pour faire carrière dans l’industrie avant de terminer sa vie professionnelle comme délégué général d’un syndicat national patronal. Son humeur on ne peut plus vagabonde enfin retrouvée, il peut désormais s’adonner à sa vraie passion : l’Histoire et l’Algérianisme.