Soleils diffusion - distribution
3, rue Jean Dollfus
 - 75018 Paris
 - Tel: 01 45 48 84 62
sollogo

Fiche article

9782353744626
Vérité historique et doute nécessaire sur le IIIe Reich et la II Guerre mondiale
Une œuvre de Bernard Plouvier
PDF
i
Nous avons commandé un réassort de cet article le 17 mars 2023.
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782353744626, vendu 31 € et classé au rayon « Histoire », publié le 10 juillet 2020 par les éditions Dualpha dans la collection « Vérités pour l’Histoire », large de 148 millimètres pour 210 de haut et comportant 298 pages.
Lorsque l’on a longuement étudié la doctrine nationale-socialiste ainsi que les étonnantes réalisations économiques, sociales, culturelles, scientifiques et techniques du IIIe Reich, l’on est amené à se poser une question fondamentale, même si elle paraît absurde aux moralistes actuels et aux littérateurs à sensation mal documentés ou haineux : a-t-il existé une éthique nationale-socialiste ? Répondre à cela est infiniment plus utile que de pérorer sur la « banalité du mal », dont toute l’histoire humaine démontre qu’elle est une évidence diachronique et universelle. Par la volonté de son créateur et naufrageur, le Reich hitlérien fut un régime populiste, nationaliste et socialiste, sans étatisation de l’outil de production, d’échanges et de financement pour d’évidentes raisons d’efficacité économique et sociale, mais ce fut également un État raciste. Le nazisme fut à la fois un totalitarisme technico-scientifique particulièrement efficace, où l’on inventait une grande partie de la technique du demi-siècle suivant, et un délire raciste, débouchant sur le projet fantasmagorique d’élaborer, à partir de la fraction germano-scandinave de la race européenne, cette Surhumanité chantée par Nietzsche. Son Führer charismatique étant un génie politique et stratégique de première grandeur et un paranoïaque délirant, un authentique « fou de dieu », le IIIe Reich ne pouvait que se terminer très mal, sauf mort prématurée de son chef, en plein triomphe. L’on poursuit, dans ce volume, l’étude non conventionnelle de ce régime hors norme.
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de bio­­graphies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation, Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu mem­bre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.

Du même auteur:

Bernard Plouvier, (...)
La pandémie de coronavirus a donné lieu à une panique planétaire orchestrée par les politiciens de l'Organisation Mondiale de la Santé. Rares furent les pays, comme le Japon et la Suède, où les gouvernants gardèrent leur sang-froid. Ce ne fut pas le cas en France, où l'on connut l'effarant cabotinage de médecins aux avis contradictoires ; puis le show médiatique quotidien fut réservé aux seuls « experts » de la mouvance gouvernementale, une fois terminée la phase de cacophonie entre l'Élysée et des ministres déboussolés.  L'on changea de mesures, puis de protocoles et l'on généralisa la pratique de vaccins, en partie issus du génie génétique, avec une totale incertitude quant aux effets à moyen et long termes de cette chimère biologique : l'on a osé injecter de l'acide nucléique viral à des humains. Certains esprits contestant mesures et principe, Emmanuel Macron enrage au point de se laisser aller à des invectives scatologiques à l'encontre de tous les réfractaires à la soumission envers les apprentis-sorciers des laboratoires pharmaceutiques, grands gagnants de cette folie collective, où l'on foule aux pieds les principes de l'immunologie et plombe les économies nationales. Bernard Plouvier, en tant que médecin, et Philippe Randa en tant que chroniqueur politique, ont beaucoup écrits sur la Covid-19… D'où l'idée de ce Verbatim de leurs écrits, articles ou entretiens pour raviver la mémoire défaillante de leurs compatriotes et contredire les insultes prononcées à l'encontre de plusieurs millions d'entre eux. Autant que leurs écrits, ce sont leurs dates de parution qui importent : elles confirment que, dès les premiers temps de cette pandémie et contrairement à ce que continuent d'affirmer, sans la moindre honte, politiciens et certains « spécialistes » dont la seule parole est autorisée, cette pandémie ne méritait en aucun cas la gestion alarmiste qui a été imposé aux populations… avec les dramatiques conséquences psychologiques, économiques et criminelles (maladies détectées trop tardivement, opérations reportées, etc.) dont il faudra bien établir tôt ou tard la macabre liste qui ne cesse de s'allonger…
25.00 €
9782353745715
Bernard Plouvier
Le Fascisme fut une variante « italianissime » du populisme. Les caciques du Komintern ont défini le fascisme comme étant « le système de domination de la classe bourgeoise et sa dictature ». Le Bulgare Georgi Dimitrov, le Français Maurice Thorez ou l'Italien Palmiro Togliatti ont multiplié les discours et les articles sur ce thème et les marxistes, fossilisés dans leur dogme, continuent de le faire, en dépit de l'évidente erreur de perspective. Le fascisme fut effectivement « l'ennemi mortel du prolétariat » : le populisme en action est une lutte contre l'esprit prolétarien, soit la guerre contre la haine des classes, contre l'envie mesquine et le sabotage du travail. C'est le combat pour élever le niveau économique et culturel des travailleurs, mais c'est également une lutte contre l'alcoolisme, tellement encouragé en URSS, contre la prostitution et l'amour libre, contre l'inceste, l'étalage de la dépravation et les violences conjugales. C'est enfin la promotion de la condition de mère de famille. Le fascisme ne fut pas seulement un mouvement anticapitaliste, antiparlementaire et un socialisme non collectiviste, donc un mouvement d'essence antibourgeoise, mais non marxiste. Ce fut aussi une application de ce Futurisme, dont la Grande Guerre assura la première prestation. Filippo Marinetti avait eu le mérite d'assimiler le Modernisme à une énergie un peu brouillonne visant à détruire le conformisme bourgeois, son art maniéré, ses préoccupations purement économiques et son parlementarisme insipide et corrompu. Le rhéteur communiste et fils d'escroc Antonio Gramsci, aigri par son nanisme et sa tuberculose chronique, n'a voulu voir dans le Futurisme qu'un mouvement d'idées conçues pour bousculer la digestion des bourgeois. En réalité, cet éloge de la technique moderne, cette griserie de la puissance et de la vitesse, cet ardent désir de participer à la destruction d'un monde sclérosé par l'argent et les conventions sociales, ont abouti à un essai, transformé grâce à la Grande Guerre, de destruction de la société italienne, suivie d'une reconstruction assez efficace : le fascisme. Comme l'a écrit Pierre Drieu la Rochelle en 1937 : « Le fascisme c'est vivre plus vite et plus fort »... ce qui est peut-être un peu léger pour transformer une Nation. On va le constater l'année 1940, après la très curieuse entrée en guerre de l'été 39, que l'on détaille de façon anti-consensuelle.
Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L'Affaire Galilée et L'Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d'essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et  Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l'Académie des Sciences de New York en mai 1980.
55.00 €
9782353745159
Bernard Plouvier
En 1941, Pierre Drieu La Rochelle vante les mérites de l'homme dur, forgé par la nouvelle guerre. C'est l'être « qui rêve de donner au monde une discipline physique... un homme qui ne croit pas aux doctrines. Un homme qui ne croit que dans les actes et qui enchaîne ses actes selon un rythme très sommaire. »  Le refus de toute doctrine permet de comprendre pourquoi Pierre Drieu La Rochelle ne fut jamais un national socialiste. Mais il s'illusionnait beaucoup s'il croyait aux vertus guerrières du fasciste. Lorsqu'en juin 1940, perdant tout bon sens, le Duce cède à la tentation d'un gain territorial qu'il espère facile, il ignore qu'il va ruiner son régime et sa réputation d'homme d'État, en plus de faire le malheur de la Nation italienne. Rien n'est prêt pour une guerre longue et très rude, une guerre à l'européenne. L'Italie fasciste ne possède ni le matériel moderne en abondance, ni un corps d'officiers combatifs.  De 1940 à 1943, le soldat italien se montrera endurant et discipliné, comme lors de la Grande Guerre, mais totalement inapte à la guerre cruelle et totale.  Trahi par son roi, par une majorité de généraux et d'amiraux, la nation ne se mobilisera guère, en 1943-45, pour défendre la patrie face à des envahisseurs capitalistes qu'elle espère riches et généreux. Elle subira, vingt-deux mois durant, une guerre dévastatrice, épicée de bombardements dépourvus d'intérêt militaire, de viols de masse et de pillages. Enfin, elle connaîtra l'ignoble réalité du cycle attentats terroristes-répression vengeresse, pour le seul bénéfice du parti stalinien. Le Fascisme et son Duce déclineront tristement, tandis que se multiplieront les souffrances du peuple.  Toutefois, la Nation italienne, modernisée & dynamisée durant les années 1925-39, donnera le meilleur d'elle même durant la seconde moitié du siècle, celle du « miracle italien ».  Les miracles n'existent que dans l'imagination des simples en esprit. Tout progrès économique et social provient toujours de beaucoup de travail, d'énergie et d'enthousiasme, soit la leçon donnée par Mussolini à son peuple... c'est la définition même du populisme !
Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L'Affaire Galilée et L'Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d'essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et  Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l'Académie des Sciences de New York en mai 1980.
55.00 €
9782353745166
Bernard Plouvier
Tout le monde le sait de longue date : les temps de Révolution comme les temps de Guerre ne sont pas des temps de Morale et ne peuvent l’être. Curieusement, cet aphorisme semble oublié des auteurs académiques & universitaires dès qu’ils abordent la Révolution nationale-socialiste et le versant germanique de la IIe Guerre mondiale. Comme si la Révolution française de 1789 à 1799 ou la bolchevique avaient été des temps vertueux, comme si, durant les années 1939-45, les deux clans victorieux – le communiste et l’ultra-capitaliste – n’avaient eu pour combattants que des rosières et des prix de vertu. Dans ce volume, on continue de s’intéresser aux hommes du IIIe Reich, dans ses années de paix et de guerre, ainsi qu’à la conduite hitlérienne de la guerre, lors du conflit le plus gigantesque, le plus monstrueux et le plus sanglant de l’histoire humaine. Mais on le fait dans un registre ni manichéen ni traditionnel. Il est plus que temps de réviser les dogmes issus de la propagande de guerre des vainqueurs, que du côté des Britanniques et des Nord-Américains, l’on nommait Deception, dans le cadre du Political Warfare... une réédition à l’échelle planétaire et à très gros budgets du bon vieux Bourrage de crânes des années 1914-18.
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.
37.00 €
9782353744633
Bernard Plouvier
De 1945 à 1949, au cours des 13 procès infligés par les vainqueurs aux vaincus du Reich, l’on présenta une image assez floue du régime défunt et l’on brossa un tableau diabolique de son fondateur et naufrageur. D’un côté, les accusés avaient tout intérêt à charger le dictateur mort. De l’autre, l’accusation nord-américaine était truffée de Juifs émigrés du Reich qui fournissaient la quasi-totalité des interprètes, dont beaucoup bâclèrent en partie leur travail, volontairement ou par incompétence. L’historiographie n’en sortit pas victorieuse. En France, les années 1960 furent celles où Charles de Gaulle imposa une pacification des relations franco-allemandes et, si les professionnels de la haine continuèrent à ressasser leurs griefs envers « les Boches », l’on en vint à présenter l’épopée de la Wehrmacht sous son jour héroïque et même à porter attention aux avancées économiques, sociales, culturelles et techniques du IIIe Reich. Cela ne faisait ni les affaires des marxistes, ni celles des héros – vrais ou supposés – de la Résistance et moins encore celles de certains profiteurs des malheurs du peuple juif. L’on inventa alors le slogan mensonger d’une jeunesse élevée dans l’ignorance du Satan nazi, en lui faisant dire : « Hitler connaît pas », ce qui était réellement grotesque, puis, pour des raisons politiques tenant à l’État d’Israël, on en revint durant les années 1980 sq. à la bonne vieille diabolisation d’Adolf Hitler et de tous les aspects de son régime haï… Depuis plus d’un quart de siècle, ce processus se poursuit et aurait même tendance à envahir tout le débat historiographique. Comme croire en Satan n’est pas plus justifié que de croire en son antithèse divine, des non-conformistes ont regimbé. Ce livre entre dans le cadre de cette historiographie récalcitrante qui refuse de sacrifier à un effet de mode et aborde certains aspects méconnus du IIIe Reich au crible du non-conformisme…
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de bio­­graphies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et  Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu mem­bre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.
31.00 €
9782353744169
Bernard Plouvier
Les combats de l’été 14 ont clos le XIXe siècle. La guerre de position, qui débute à l’Ouest durant l’automne, marque l’entrée dans le XXe, celui de la propagande mensongère et des guerres de matériel, où l’abnégation et la résignation tiennent davantage de place chez le combattant que l’héroïsme, une vertu qui passe du domaine individuel au collectif, hors circonstances exceptionnelles. Partis se battre, en une glorieuse parenthèse de quelques mois qui devait être un îlot d’aventures émergeant d’une vie morne et conventionnelle, les hommes de toutes les armées – du moins pour le front Ouest, puis l’italien – sont confrontés à des conditions de survie médiévales, voire préhistoriques. Ils s’aperçoivent bientôt qu’ils ne sont qu’un matériau de plus de cette guerre, et le moins onéreux, celui que des généraux inexperts, voire franchement criminels, sacrifient allègrement. La guerre crée de profondes injustices sociales : l’on épargne de la tuerie et l’on surpaye ceux que l’on juge indispensables à l’effort industriel, en exposant la vie des paysans et des intellectuels. Le milieu des « affectés spéciaux en ateliers », petits mais authentiques profiteurs de guerre, se transforme dès 1917 en un groupe de perpétuels revendicateurs, adeptes de cette lutte des classes que les marxistes vont transformer en guérilla civile permanente. Au mois d’août 1916, Erich Ludendorff devient le quasi-dictateur en matière d’opérations militaires, de propagande et d’économie de guerre, dans le Reich, où il ne parvient guère à calmer l’agitation des politiciens ambitieux ni à réduire les profits scandaleux des fournisseurs aux armées. Ces deux plaies se rencontrent d’ailleurs chez tous les belligérants. Au printemps de 1917, Philippe Pétain devient enfin le chef des armées françaises de métropole. Avec ces deux stratèges, la guerre va changer de style.
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et  Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 19
35.00 €
9782353743964
Bernard Plouvier
Dans ce volume, résolument anticonformiste, on évoque le refus d’assimilation à la Nation française de la majorité des Juifs de France durant l’entre-deux-guerres, qui faisait contraste avec leur intégration massive à la vie politique, médiatique, économique et financière du pays.
Durant la Grande Guerre, les Juifs de France avaient démontré un patriotisme tel que diverses canailleries, durant les années Vingt et Trente, n’avaient pu déclencher de réaction antijuive notable. L’immigration massive de Juifs d’Europe de l’Est et du Centre a triplé l’importance numérique de la communauté juive, de 1910 à 1939, introduisant quantité d’Ashkénazes, en grande partie yiddishophones, qui développent, de 1933 à 1939, une germanophobie haineuse et un bellicisme acharné, très dangereux pour la Nation française, démoralisée par un chômage durable de grande ampleur et par le désastre économique et social du Front Populaire, personnalisé, à tort ou à raison, par Léon Blum et son entourage.
En septembre 1939, la Nation est précipitée dans une guerre dépourvue d’intérêt national et perdue d’avance, par la disproportion entre la puissance industrielle et militaire du IIIe Reich et celle de la France, dont l’armée, obsolète et peu motivée, doit affronter seule une Wehrmacht très performante. L’Allié polonais s’est effondré en un temps record en septembre 1939, et le britannique ne fait rien ou presque en mai 1940, tandis que l’URSS et le Komintern sont de fidèles collaborateurs du Reich jusqu’au 22 juin 1941. Une fois la débâcle consommée, plus complète, plus humiliante, plus honteuse que celle de 1870, vient le temps de l’apurement des comptes, approuvé par une énorme majorité de Français, qui ne changeront d’avis, mais de façon radicale, que durant l’été de 1942, lors des rafles de femmes et d’enfants juifs et de la déportation d’innocents vers l’Est, où les attend un sort dont on ne sait à l’époque rien de précis.
L’une des plus importantes questions alors soulevées est celle de l’homogénéité de la Nation. Doit-on ou non admettre qu’une communauté qui refuse de s’assimiler à la Nation continue d’être très influente dans la vie économique, politique et médiatique du pays ?
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.
39.00 €
9782353743742
Bernard Plouvier
Les archives du IIIe Reich, celles du ministère des Affaires étrangères comme celles de la police de sécurité (le RSHA, où le Sipo-SD était en charge des questions juives), les propos d’Adolf Hitler regorgent de plaintes à l’encontre du maréchal Pétain, chef de l’État français, de Pierre Laval, Président du Conseil des ministres, des chefs des polices françaises, singulièrement René Bousquet et Jean Leguay, pour leur opposition aux mesures antijuives. Le maréchal refusera toujours l’imposition de l’étoile jaune aux Juifs de Zone Libre (Zone Sud, à compter du 11 novembre 1942), comme il refusera la dénaturalisation en bloc des Juifs admis à la citoyenneté française depuis 1927 ou 1936 : seuls seront déchus les fuyards de mai-juin 40 et dénaturalisés ceux et celles, peu nombreux, jugés indignes après enquête des membres de la Commission de révision.
Les autorités françaises ont tenté de limiter les dégâts provoqués par l’assassinat de soldats allemands désarmés à partir de l’été de 1941. Le cycle infernal attentats terroristes-fusillade d’otages fut un jeu pervers opposant le PCF clandestin à l’Occupant. En raison du grand nombre de Juifs étrangers parmi les activistes communistes, des Juifs firent partie des otages fusillés.
Aucune statistique fiable n’existe permettant d’estimer le nombre des Juifs séjournant sur le sol métropolitain durant l’Occupation, ni sur le nombre des Juifs sortis vivants des camps nazis. Lorsque l’Occupant a commencé à rafler puis déporter des Juifs, les autorités françaises ont systématiquement défendu les Juifs citoyens français, les Juifs étrangers ou apatrides décorés pour faits de guerre dans l’Armée française, ainsi que les épouses juives de prisonniers de guerre français. Grâce à l’action vigoureuse de Français, autorités et citoyens charitables, le pourcentage des Juifs déportés, adultes et enfants, fut l’un des plus faibles des pays occupés.
Est-il licite de sacrifier des étrangers et des apatrides pour sauver un maximum de citoyens, membres à part entière de la communauté nationale ? La réponse donnée à cette question en France, de la Libération à nos jours, est trop entachée de haine pour être satisfaisante, car, à l’évidence, un vrai chef d’État a pour devoir premier de protéger sa Nation. L’État d’Israël, de mai 1948 à nos jours, est la parfaite illustration de cet égoïsme communautaire, considéré comme essentiel à la survie de la Nation.
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.
39.00 €
9782353743759
Bernard Plouvier
Les historiens professionnels, qu'ils soient universitaires ou académiciens, gens fort prudents et généralement soucieux de plaire aux puissants, les auteurs mondains, personnes avisées, désireuses de séduire le grand public, n'insistent guère sur le rôle des traîtres dans l'obtention d'une victoire. Tout au plus insistent-ils sur le brio des agents de renseignements du camp victorieux. Encore minimisent-ils leur importance pour ne pas déplaire aux seigneurs de la guerre : les chefs des Etats victorieux et leurs maréchaux et commandants d'années et de groupes d'armées, dont il convient de ne surtout pas ternir la gloire, voire simplement de la faire partager. Ecrire l'histoire militaire de la IIe Guerre mondiale, sans tenir compte du nombre ahurissant de traîtres du côté allemand, est une spécialité universitaire et académique fort appréciée de nos jours, mais qui rend strictement impossible la compréhension de bien des événements des années 1939 - 1945. Les agents recruteurs du Komintern et ceux du GRU ont trouvé, avant, puis durant, la guerre, quantité de traîtres dans l'aristocratie, mais aussi dans le corps des officiers d'états-majors et des hauts - fonctionnaires ministériels (les diplomates préférant généralement trahir en faveur des Alliés occidentaux, jugés plus raffinés). Ils ont misérablement échoué, en revanche, à débaucher de façon significative savants, techniciens et ouvriers, qui se sont révélés farouchement patriotes jusqu'à la débâcle, pour la quasi - totalité d'entre eux. Par ailleurs, c'est dans les milieux aristocratiques, singulièrement ceux qui avaient de fortes attaches cosmopolites, et chez les officiers de métier qu'il faut chercher les deux tiers des comploteurs qui, à plusieurs reprises durant une guerre qui fut la plus formidable et la plus meurtrière de toutes, une guerre qui ne pouvait se terminer que par l'anéantissement de l'un des ennemis en lice, ont trahi leur serment de fidélité au chef de l'Etat - chef des Armées. Il est évident qu'à présenter les faits tels qu'ils furent et non tels qu'une historiographie repentante les expose usuellement, l'on s'expose à se faire mal considérer des bien pensants... aussi bien ce livre n'est - il pas fait pour eux.
Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler en six volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L'affaire Galilée et L'Enigme Roosevelt, faux naïf et vrai nnachiavel, d'essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite... Il a été élu membre de l'Académie des Sciences de New York en mai 1980.
35.00 €
9782353742424
Bernard Plouvier
Il faut croire que la narration historique n'est pas seulement un plaisir d'esthète ou une activité de savant, mais qu'elle a aussi une certaine importance sociale, puisque de nos jours des parlementaires édictent des lois pour en réglementer l'écriture et que des juges ont à statuer sur le cas des contrevenants, ces chercheurs atypiques qui osent réviser les dogmes communément admis. Pourtant, une question mérite d'être posée. L'écriture historique officielle, c'est-à-dire celle de nos merveilleux universitaires, de nos brillants académiciens et de nos sémillants écrivains mondains est-elle digne de foi ? Dans ce livre, on ose prétendre le contraire. Dans une première partie, on tente de démonter une quinzaine de fables bâties pour édifier le bon peuple, de Ramsès II à Lénine, de Galilée à Einstein, de Constantin Ier à Paul Renaud et Charles De Gaulle. Il est évident que l'écriture de l'histoire contemporaine n'est trop souvent que de la propagande. C'est ce que l'on a tenté de démontrer en épurant l'histoire d'Adolf Hitler des légendes et des mensonges les plus grotesques. Enfin, dans une troisième partie, l'on a abordé le lieu symbolique du  Devoir de mémoire , Auschwitz et son complexe concentrationnaire, en essayant d'en ôter les scories qui ont donné naissance au négationnisme, puis l'ont nourri. La notion de vérité historique est, par essence, un idéal inaccessible. Cela ne signifie pas qu'il faille renoncer à s'en rapprocher et moins encore qu'on ait licence de la violer délibérément.
Bernard Plouvier est l'auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d'Adolf Hitler en six volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L'Affaire Galilée et L'Enigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d'essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite... Il a été élu membre de l'Académie des Sciences de New York en mai 1980.
35.00 €
9782353742264
Bernard Plouvier
Le docteur Bernard Plouvier, né en 1949, a été interne des hopitaux puis chef de clinique au CHU de Lille. Depuis 1979, il est chef de service hospitalier, spécialisé en Médecine interne. Il a été élu membre de l'Académie des Sciences de New York en mai 1980.
27.00 €
9782353742141
Bernard Plouvier
De cette guerre qui se fait désormais avec du « million d’hommes », deux noms émergent : Erich Ludendorff, le dernier grand stratège traditionnel ; Philippe Pétain, le tacticien qui, le premier, a compris que le matériel utilisé en abondance épargne des vies, et le stratège visionnaire qui emploie simultanément, lors des attaques, l’aviation, les chars et l’artillerie mobile en soutien de l’infanterie. Le coût en vies (1,4 million pour les Français) est à la fois immense et d’effet retardé : ce sont surtout des hommes jeunes qui sont morts et cela fait autant de géniteurs en moins. Le coût en argent est jugé prohibitif : 7 années de revenu national pour la France et un endettement équivalant à 5 autres années. De créditeur général de la planète, l’Europe devient débitrice des USA, le grand gagnant économique du premier épisode de la « guerre civile européenne. » Les Traités de paix, concoctés à Paris et signés dans les châteaux de la région parisienne, sont gros de tant de conflits, petits et grands, qu’on doutera toujours des motivations de leurs concepteurs. La sottise et l’ignorance expliquent-elles seules l’abjection profonde de ces traités ou, chez ces hommes manipulés en coulisses par des conseillers intimement liés aux industriels et aux financiers, a-t-il existé la volonté sournoise et cynique de préparer une prochaine guerre, si utile au Big Business ? Dans l’immédiat après-guerre, et dans chaque pays belligérant ou nouveau-né, débutent un chômage massif, la croissance accélérée de la Dette publique et la course-poursuite des salaires et des prix, puis la valse des dévaluations monétaires. Les valeurs morales sont ridiculisées par les théoriciens de l’amour libre et de la subversion, par les canailleries des affairistes et par les revendications permanentes. La quête du beau disparait des motivations du milieu de l’art. Il devient de bon ton de tourner en dérision les notions d’honneur, de travail, de famille et de patrie. La Grande Guerre accumula morts, ruines et déréliction, mais elle accoucha aussi d’un demi-siècle d’explosions techniques et de grandes expériences politiques. C’est l’histoire de cette mutation qu’on a voulu exposer de façon aussi complète que possible et d’une manière résolument non conventionnelle.
Bernard Plouvier est l’auteur de plusieurs livres aux éditions Dualpha, dont, entre autres, une Biographie médicale et politique d’Adolf Hitler en six volumes, Les Juifs dans le Reich hitlérien en deux volumes, de biographies Jésus de Nazareth, le Grand Consolateur, L’Affaire Galilée et L’Énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel, d’essais Réflexions sur le Pouvoir de Nietzsche à la Mondialisation et  Le XXIe siècle et la tentation cosmopolite… Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.
35.00 €
9782353743971
Bernard Plouvier
Couverture et quatrième indisponibles !
31.00 €
9782353742004
Plouvier Bernard
L’affaire Dreyfus n’a pas surgi au hasard, à la jonction des XIXe et  
XXe siècles, dans la société française bouleversée par trois quarts  
de siècle d’une révolution industrielle menée de façon inhumaine au  
plan social. Depuis 1830, la France est dominée par une nouvelle  
trinité, celle des financiers, des entrepreneurs et des grands  
négociants.

On ne peut rien comprendre à la déchirure d’une partie de l’opinion  
publique, provoquée par cette affaire, si l’on fait abstraction du  
contexte économique et social ou de la guerre déclenchée contre  
l’Église catholique, la religion de la très grande majorité des  
Français de l’époque, par des politiciens davantage voués au service  
de la nouvelle trinité dominante qu’à celui de la nation.

L’antijudaïsme (mal dénommé « antisémitisme ») n’est que l’une des  
composantes, très médiatisée il est vrai, de la guerre opposant les  
vrais maîtres du Régime aux réformateurs de tous bords et à l’Église  
qui, sous la houlette d’un très grand pape, Léon XIII, se détache  
progressivement des vaincus de 1830, l’aristocratie terrienne et la  
bourgeoisie de robe, et repousse le « libéralisme économique » tel  
qu’il est pratiqué.

L’affaire Dreyfus survient, non pas dans un « monde en mutation » (la  
transformation économique irréversible est achevée depuis plusieurs  
décennies), mais dans une société instable où s’affrontent durement  
les dévots de trois cultes irréductibles. L’auteur a tenté de décrire  
cette guerre, où tous les coups même les plus bas paraissent bons,  
opposant les révolutionnaires répartis en de multiples chapelles  
rivales, l’Église catholique elle-même fort désunie et les adorateurs  
du Progrès et de la Richesse, élevés au rang de nouvelles divinités  
de la République.
31.00 €
9782353741847
Plouvier Bernard
Non, Alfred Dreyfus n'a pas été condamné parce qu'il était Juif ! Il y avait d'autres éléments, dans le dossier de l'accusation, qu'une simple ressemblance d'écriture avec celle du fameux bordereau, une curieuse pièce, d'ailleurs. Non, Esterhazy n'était pas un traître ! C'était néanmoins une franche canaille. Que Dreyfus ait été innocent de ce pourquoi il a été condamné en décembre 1894 à Paris, nul ne le conteste. En revanche, c'est pour d'autres raisons que, lors du second conseil de guerre, tenu l'été de 1899 à Rennes, Dreyfus a été condamné de nouveau, en dépit de très vives pressions gouvernementales sur le procureur et les juges pour qu'ils innocentent l'accusé. Si l'arrêt de la Cour de cassation, en 1906, a mis fin à la partie judiciaire de l'affaire, il n'a strictement rien résolu des énigmes nombreuses qu'elle laisse, tant du côté allemand que du côté français. Les pistes, évoquées au Conseil de guerre de Rennes, n'ont pas été explorées. N'en déplaise aux auteurs académiques, si l'énigme Esterhazy semble facile à résoudre, la personne et les activités d'Alfred Dreyfus demeurent bien mystérieuses. Les multiples rebondissements médiatiques, politiques et judiciaires de cette affaire sont exposés en tenant compte des travaux récents les plus originaux.
35.00 €
9782353741854
Plouvier Bernard
Couverture et quatrième indisponibles !
21.00 €
9782353741762
Plouvier Bernard
Ce livre retrace l’opposition entre le Führer du iiie Reich et le  
pape de la Seconde Guerre mondiale, un pape imprégné des notions  d’antiracisme, qui forme l’essence même du message chrétien, et  de résistance à l’oppression, dans la pure tradition thomiste.Après avoir combattu le nazisme en temps de paix, quand il était le  secrétaire d’État de Pie XI et avoir rédigé l’encyclique de  1937 condamnant la conception du monde hitlérienne, Pie XII a tenté  d’éviter la guerre en invitant le gouvernement polonais à ouvrir  les négociations sur des territoires majoritairement peuplés  d’Allemands, tel l’État de Dantzig.
Durant la guerre, il n’a nullement été « le pape d’Hitler »,  
mais on peut affirmer que jusqu’au début de 1943 il a été « le  
pape de Roosevelt ». La cynique formule de « reddition sans  
condition », émise en janvier 1943, à la Conférence de Casablanca,  a fait comprendre à Pie XII que les Alliés occidentaux l’avaient  dupé, poursuivant d’autres buts que les nobles principes énoncés  dans la Charte de l’Atlantique. C’est en 1943 que le pape oriente  son action vers la lutte anticommuniste, alors qu’il n’avait, en  juin 1941, ni salué ni cautionné la Croisade antibolchevique,  estimant qu’Hitler n’était pas qualifié pour la diriger et,  surtout, ne voulant pas contrarier son ami Roosevelt, le « neutre »  qui soutenait l’effort militaire de Staline.
Le pape n’est nullement demeuré silencieux quand se perpétraient  les crimes de masse ; il s’est exprimé clairement, mais de façon  
diplomatique pour ne pas aggraver les conditions de vie des victimes  désignées par le Führer du Reich. Sous la direction de Pie XII,  l’Église catholique a mis en place un extraordinaire réseau  d’assistance et de mise à l’abri de centaines de milliers de  personnes, qui étaient autant de cibles potentielles pour les polices  du Reich.
L’Église de Pie XII a sauvé énormément de Juifs, ce que savaient  
les contemporains du pape et ce que veulent ignorer nos contemporains  pour des raisons diverses, où les haines politiques et religieuses ne  sont pas absentes. La vérité triomphera un jour.
35.00 €
9782353741441
Plouvier Bernard
En 1934, Adolf Hitler avait dit : « Le National-socialisme est  
plus qu’une religion, c’est la volonté de créer le sur homme.  
» Dès 1939, cette phrase était mondialement dif fusée ; trop peu  
d’analystes en ont tiré les conséquences. Les crimes, les erreurs  
du chef d’État et du stratège y trouvent leur explication. Mais,  
Hitler n’est pas seulement un délirant, c’est aussi un géant  
parmi les hommes d’État. Le IIIe Reich fut exceptionnellement  
novateur en matière d’éco no mie, de lois sociales et de  
techniques. En 1945, ce n’est pas seulement une conception raciste  
de l’État qui s’évanouit, mais aussi un régime en avance  
d’une génération sur ses concurrents marxiste et libéraux.
12.00 €
9782353741236
Plouvier Bernard
Couverture et quatrième indisponibles !
12.00 €
9782353741052
Plouvier Bernard
Les pays vassalisés de l'ouest européen ont pour rôle de fournir un soutien économi­que au Grand Reich ; le centre et l'est du continent, du Rhin à l'Oural, doivent être la zone d expansion raciale, qu'il importe de vider d'un maximum d'autochtones slaves (les survivants étant réduits à l'état d ilotes analphabètes), tandis que les membres des « races impures », juifs et Tsiganes, doivent disparaître. Les passions déchaînées par le fondateur et naufrageur du IIIe Reich ne sont pas en voie d'extinction. Bien au contraire, elles sont très régulièrement entretenues par les manipulateurs des mass-média, assurés d'une large audience à l'évocation des cri­mes bien réels du chef d'État, des er­reurs réelles ou supposées du stratège, et mieux encore en prêtant à l'homme les ta­res les plus ridicules, les vices les plus odieux. Les présents ouvrages ne prétendent pas alimenter cet océan de littérature si uti­le et parfois fort divertissante. Ils ont pour buts d'étudier aussi ob­jec­ti­vement que possible la carrière politique et l'évolution psy­cho­lo­gique d'Adolf Hitler, sa santé physique et mentale aux différentes époques de sa vie, ses relations avec les médecins et les chirurgiens qui l'ont soigné, ses conceptions en matière d'hygiène et de santé publique et les décisions voire les conséquences qui en ont résulté.
31.00 €
9782353740987
Plouvier Bernard
Adolf Hitler a engagé son Reich dans une guerre gi­gan­tesque, disproportionnée à ses moyens. Cette lutte titanesque ruine sa santé autant qu'elle mène son pays au désastre. Les ordres criminels qu'il a donnés durant la guerre à l'est ont fait oublier l'extraordinaire oeuvre économique et sociale ac­complie par son régime et occulté le courage, la ténacité, l'in­ventivité déployés par ses soldats. Les passions déchaînées par le fondateur et naufrageur du IIIe Reich ne sont pas en voie d'extinction. Bien au contraire, elles sont très régulièrement entretenues par les manipulateurs des mass-média, assurés d'une large audience à l'évocation des cri­mes bien réels du chef d'État, des er­reurs réelles ou supposées du stratège, et mieux encore en prêtant à l'homme les ta­res les plus ridicules, les vices les plus odieux. Les présents ouvrages ne prétendent pas alimenter cet océan de littérature si uti­le et parfois fort divertissante. Ils ont pour buts d'étudier aussi ob­jec­ti­vement que possible la carrière politique et l'évolution psy­cho­lo­gique d'Adolf Hitler, sa santé physique et mentale aux différentes époques de sa vie, ses relations avec les médecins et les chirurgiens qui l'ont soigné, ses conceptions en matière d'hygiène et de santé publique et les décisions voire les conséquences qui en ont résulté.
31.00 €
9782353740994

Du même éditeur:

39.00 €
9782353746057
39.00 €
9782353746033
19.00 €
9782353746040
41.00 €
9782353745913
21.00 €
9782353745944
15.00 €
9782353746019
17.00 €
9782353746002
29.00 €
9782353745982
49.00 €
9782353745999
17.00 €
9782353745975
31.00 €
9782353745968
48.00 €
9782353745951
29.00 €
9782353745920
25.00 €
9782353745937
31.00 €
9782353745906
51.00 €
9782353745845
39.00 €
9782353745876
39.00 €
9782353745852
25.00 €
9782353745814
19.00 €
9782353745869

Dans le même rayon:

20.00 €
9782366661057
Couverture et quatrième indisponibles !
39.90 €
9791035318277
30.00 €
9782359920895
10.00 €
9791092389333
9.90 €
9791035315665
Couverture et quatrième indisponibles !
30.00 €
9791035318956
12.00 €
9782356182289
11.50 €
9782350688787
29.00 €
9791035317201
20.00 €
9791035315368
40.00 €
9782878255348
Couverture et quatrième indisponibles !
11.20 €
9782910868598
9.90 €
9791035318406
59.00 €
9782864106784
30.00 €
9782864106777
30.00 €
9782864106760
15.00 €
9782846223638
20.00 €
9791035311773
9.90 €
9791035318437
28.00 €
9782371570528