Les crimes masques du resistantialisme
Une œuvre d'Abbé Jean Desgranges
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782360060146, vendu 26 € et classé au rayon « Loisirs », publié le 20 avril 2010 par les éditions Dualpha dans la collection « Vérités pour l'histoire », d'un poids de 267 grammes, large de 155 millimètres pour 210 de haut et 10 d'épaisseur et comportant 177 pages.
Préface d’André Figueras.
« Il doit être hautement affirmé, au seuil de ce livre, que l’auteur n’y attaque en aucune façon l’authentique et glorieuse Résistance. À cette Résistance, qui fut celle de la presque unanimité des bons Français, l’auteur s’honore d’avoir appartenu, et de l’avoir servie autant que les poursuites de la Gestapo le lui ont permis. Il s’en explique, au cours de ces pages, chaque fois que l’occasion s’en présente. Il n’en a qu’au RÉSISTANTIALISME, cette abominable exploitation de la vraie Résistance au profit de certains partis politiques, et de la plus éhontée des camaraderies.
Pas plus que MM. François Mauriac, le général d’Astier de la Vigerie, le colonel Rémy et tant d’autres, qui, en Résistants incontestés, en hommes d’honneur et de cœur aussi, ont élevé courageusement la voix en faveur de la Justice, l’auteur ne tolérerait que l’on prétendît amoindrir en rien le magnifique mouvement de défense vitale qui a « sauvé l’âme de la France ».
Il entend seulement dénoncer l’œuvre néfaste, les crimes masqués des imposteurs, profiteurs et usurpateurs, qui, par leurs iniquités, leurs vengeances inexorables, et leurs scandaleuses spoliations, ont décimé toute une élite française et tentent de dissocier la conscience elle-même de la Patrie dont le salut a coûté tant de sang à nos martyrs ».
Aumônier militaire en 1914-1918, Jean Desgranges participa ensuite à l’activité du Parti Démocrate Populaire qu’il représenta à la Chambre de 1928 à 1940. Il participa à la Résistance durant la Seconde Guerre mondiale, échappant de justesse à la police allemande qui le pourchassait. Il présida l’Association des Anciens Représentants du Peuple de la IIIe République, dont il était l’un des fondateurs.