Hist de maire et autres d'elu
Une œuvre de Pierre Brana
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782360420032, vendu 20 € et classé au rayon « Loisirs », publié le 10 mars 2011 par les éditions Pleine page, d'un poids de 367 grammes et large de 150 millimètres pour 210 de haut.
Entre 1977 et 2008, Pierre Brana fut maire d’Eysines, l’une des 27 villes de la Communauté Urbaine de Bordeaux, passée de 13?000 à 20?000 habitants en trente ans.
La vie d’un maire est faite des mille choses du quotidien des habitants parce qu’il est leur élu le plus proche. Urbanisme, voirie, assainissement, action sociale, culturelle, sportive, il doit encore se soucier de la petite enfance, des écoles, des résidences pour personnes âgées, veiller à l’emploi, à la sécurité, à l’accessibilité des personnes handicapées comme à l’éclairage public. Sans oublier les actes de l’état civil et la gestion du personnel et des biens communaux. Il dialogue en permanence avec le mouvement associatif, sel de sa commune, impulse, entretient, développe une démocratie participative permanente avec ses concitoyens.
Sa vie de tous les jours, les situations insolites, cocasses, douloureuses, auxquelles il se trouve confronté, les réactions souvent surprenantes des citoyens, sont méconnues. C’est cet envers du décor qu’on lira dans cet ouvrage.
Pierre Brana a passé son enfance et sa jeunesse à Bacalan, le quartier ouvrier et populaire de Bordeaux. Après des études universitaires scientifiques et un service militaire en Algérie, il devient ingénieur à EDF-GDF. Responsable syndical puis politique, il a été conseiller de Michel Rocard. Conseiller général pendant vingt ans et maire d’Eysines pendant plus de trente ans, il a été député du Médoc et secrétaire de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale, ce qui l’a amené à travailler sur les génocides du Rwanda et de Srebrenica.
Il est aussi l’auteur d’Une Jeunesse bacalanaise (2010, éd. Pleine Page) et co-auteur avec Joëlle Dusseau de deux biographies consacrées à Adrien Marquet, maire de Bordeaux et ministre de Pétain, et à Robert Lacoste, ministre-résidant pendant la guerre d’Algérie.
