Le Mangeur d'âmes
Une œuvre de Jean-Yves Revault
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9791035300722, vendu 4.95 € et classé au rayon « Poche/littérature », publié le 16 mars 2018 par les éditions Geste, d'un poids de 110 grammes, large de 110 millimètres pour 178 de haut et comportant 144 pages.
Quel lien existe-t-il entre celui que les assoiffés du café Au vieux port appellent craintivement « le Mangeur d'âmes », et cinq femmes tondues à la Libération dans un petit village de l'Anjou ? Pourquoi, aux alentours de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, tant de cancers du sein chez des femmes en retraite ? Et pourquoi tant de « maladies de langueur » chez leurs maris auparavant heureux de vivre ? Le bon docteur L. n'y comprend rien. Pas plus qu'Antoine Garridon, le narrateur de cette tragique histoire, lequel a bien des raisons de haïr le Mangeur d'âmes. Le nouveau roman de Jean-Yves Revault nous entraîne non seulement dans les inquiétants marais du Pissot, mais aussi dans des territoires psychologiques mal connus, où la médecine elle-même y perd ses belles certitudes.
Après une première partie de vie classique (concepteur rédacteur en publicité), JY Revault s'oriente dans les années 90 vers le développement personnel et la psychologie appliquée. En 1992, il présente au Salon Médecines Douces à Paris, la Thérapie par l'écriture (méthode de libération par correspondance, toujours d'actualité). Son premier livre sur le sujet – Ecrire pour se guérir – est suivi de différents essais (voir bibliographie), mais aussi de romans, de recueils de nouvelles, et de livres inclassables comme L'Alphabet des Baisers ou Les 7 dé-mons sur le chemin du pardon, dans lequel il conte ses pèlerinages seul et à pied jusqu'à Compostelle puis Jérusalem. Depuis plus de vingt ans, il anime, en France et en Suisse des stages d'écriture primitive. Il a également co-créé une pièce de théâtre sur la fin de vie qu'il a lui-même interprété dans une cinquantaine de villes.