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9782373558388
La femme hamedanie et la sorcellerie
(ETHNOLOGIE Anthropologie, Science des Religions Livre I / Livre II)
Une œuvre de Shahrzad Ghaffari
PDF
Ouvrage broché portant le numéro ISBN 9782373558388, vendu 20 € et classé au rayon « Essais litteraires », publié le 08 mars 2023 par les éditions Unicité, large de 170 millimètres pour 240 de haut et comportant 230 pages.
Titre indisponible !
« J'espère que la lecture de cet ouvrage vous fera découvrir les traditions millénaires
et l'histoire des femmes de la ville d'Hamad?n, une ville importante et ancienne
d'Iran. J'ai décidé de faire mes recherches sur la sorcellerie parce qu'elle était courante,
mais pratiquée en secret. Surtout, la magie noire n'était pas bienvenue dans une
société en processus de modernisation. (L'éducation et la libération des femmes étant
en cours, les plus modernes avaient honte d'avoir l'étiquette de fanatique sur elles).
Cependant, certaines traditions comparées à la magie blanche semblaient acceptables
dans leurs croyances comme c'était davantage pour exaucer un voeu, pour éloigner le
mauvais oeil ou la guérison ! »
« De nos jours, la sorcellerie, la magie noire et les rites dangereux n'ont plus de
raisons d'être dans une société moderne et équilibrée avec un bon système d'éducation
et des lois qui protègent sa population. Je désire de ma part participer à la mise en
place de cette protection nécessaire à l'équilibre de tous les êtres humains, de belles
croyances qui nous permettent de vivre en harmonie avec toutes sortes de vies sur
notre planète ainsi qu'à la préservation de nos plus beaux patrimoines culturels. »
Shahrzad Ghaffari,
Westmount, Québec, Canada, janvier 2023
Dr. Shahrzad Ghaffari (Née en 1956 à Hamad?n/Iran), ethnologue,
photographe et poète, a étudié ‘L'histoire comparative
de la culture et les religions' à l'Université Américaine à Téhéran
et l'ethnologie à l'Université de Paris VII en France. Elle a
obtenu son doctorat de troisième cycle avec la mention « excellent  » en 1984. Shahrzad Ghaffari est Iranienne-Canadienne de
Québec. Mariée avec deux enfants, elle vit à Westmount/
Montréal. Ses expériences pertinentes dans trois pays
(Iran, France, Canada) constituent ses principales motivations
pour la création d'harmonies à travers ses diverses expressions
poético-artistiques.

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Si certains doutent des possibilités du français et de la francophonie, les vingt-cinq chapitres de ce livre consacré au nouveau rayonnement de notre langue effaceront leur incrédulité tant ce renouveau est réel, en phase ascendante, en dépit des difficultés et des coupes budgétaires. Constat intéressant : une institution venue de loin traverse allègrement la tempête : il s'agit de l'Académie française, servie à merveille par Canal Académie, une radio internet créée en 2004. Pour éclairer ce renouveau, Axel Maugey propose un vaste tour d'horizon au coeur de cet espace en français, aussi bien en Europe et en Afrique que dans des pays particuliers tels que la Chine, l'Argentine, les États-Unis ou le Québec. Ce renouveau du français s'appuie aussi sur des relais appréciés comme TV 5, France 24, Canal Académie et bénéficie de l'action de l'Agence Universitaire de la Francophonie comme de celle de l'Organisation Internationale de la Francophonie. « Être Français, c'est mettre des mots intelligents sur nos sentiments. » Cette formule si vraie de Fabrice Lucchini, ce merveilleux saltimbanque, contient un des secrets de notre civilisation. « Le nouveau rayonnement du français » est réel depuis plus de dix ans dans plu-sieurs grandes régions du monde, comme en Asie, dans les Amériques ou dans le monde arabe. Trois symboles illustrent entre autres ce renouveau : l'Université francophone d'Alexandrie en Égypte, Canal Académie », la radio de l'Académie française, et la création d'une filiale de la Sorbonne à Abu Dhabi. Sans parler des milliers de manifestations françaises et francophones qui ont lieu chaque année et sans oublier le rayonnement des écrivains qui ont en partage le français.
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Vertus de ces textes de Philippe Randa : on voit resurgir dans une joyeuse farandole tous les hommes d'esprit qui avaient si bien nourri le scepticisme.
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Antoine de Rivarol (1753-1801) en avait souligné les effets dévastateurs : « Changer le sens des mots, c'est produire la confusion, l'obscurité et la méfiance avec les instruments de l'ordre, de la clarté. Changer les mots, c'est déplacer les meubles dans la maison d'un aveugle. »
Les prestations macroniennes ne peuvent que rappeler les propos de Xénophon évoquant un Socrate « qui ne voyait pas de fourberie plus grande que de tromper ses concitoyens et de se faire passer, lorsqu'on est sans mérite, pour un homme capable de gouverner l'État. »Depuis son accession à la tête de l'État, Emmanuel Macron, trop jeune pour avoir connu Giscard d'Estaing, mais d'une génération où l'apparence est toujours privilégiée à la réflexion, aura explosé le mélange des genres ; ce fut le cas en 2018, en posant avec sa moitié, entouré des danseurs du Kiddy Smile à l'Élysée, à l'occasion d'une fête de la Musique ; un groupe en pointe du « voguing », une danse urbaine née dans la communauté LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) noire américaine.
Au détour de nombreuses de ces chroniques barbares, on croit ainsi deviner la face grimaçante de Voltaire sollicitant Zadig et Candide afin de rajouter quelques chapitres à ses contes philosophiques.
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Le monde noir, depuis l'après-guerre, est prisonnier de la Haine du Blanc qui s'affirme de plus en plus, à la mesure de l'échec des États d'Afrique noire à offrir des perspectives prometteuses à leurs populations, comme en témoigne le triste spectacle de cette jeunesse parmi la plus vaillante qui prend des risques à travers Sahara et Méditerranée pour rejoindre l'Europe depuis plus de dix ans. Pour délivrer le monde noir, il est indispensable de savoir ce qu'est cette Haine du Blanc, ses origines, son objectif obsessionnel, son mode opératoire, et comment est-elle parvenue à instrumentaliser les élites noires… Née en chrétienté, une affaire à l'origine entre Blancs, cette multiséculaire Haine du Blanc s'adapte de siècle en siècle à la conjoncture du moment pour arriver à ses fins d'affaiblir et de déconstruire cette civilisation occidentale qu'elle abhorre au plus haut point. Élitiste, elle a infiltré et noyauté des rouages importants de la société occidentale, s'offrant ainsi une capacité d'influence qui lui permet d'imposer continuellement des opinions marginales, des nouvelles valeurs dites progressistes… issues de ses élucubrations et lubies. Toujours du côté des ennemis de l'Occident, elle a été pendant des décennies la cinquième colonne du communisme stalinien, et elle est aujourd'hui l'alliée de l'islamisme. Avec des voix noires à son service, la Haine prétend lutter contre le colonialisme, le racisme, la xénophobie et autres. Le monde noir en est perturbé à croire que le Blanc est coupable de l'esclavage et la traite négrière, que la colonisation européenne fut un mal, que le pharaon Ramsès II était noir, ou que le souverain du Congo Léopold II était un criminel. Nous en sommes aujourd'hui à l'ultime dérive qu'est le Wokisme… À la limite, que des Blancs, au nom de l'abusus, s'attellent à détruire leur civilisation est leur droit et leur problème ; mais que des prétendus intellectuels noirs se laissent naïvement piéger dans cette entreprise qui fait du monde noir une victime collatérale est inadmissible. Il s'agit, ici, de créer les conditions psychologiques, intellectuelles et morales d'un redressement de l'Afrique noire qui se tromperait de croire pouvoir s'en sortir sans examen de conscience sur son passé. Accuser l'Occident d'être responsable de tous les malheurs du monde noir relève d'une imbécilité qui n'a que trop duré ! L'Afrique doit se reprendre en main, en retrouvant la réalité de son histoire, et en se montrant plus exigeante envers elle-même dans la conduite de son destin, sans se laisser distraire par la Haine du Blanc. Noir ou Blanc, nous devons ensemble combattre la Haine du Blanc, pour sortir le Blanc de la repentance et le Noir de l'infantilisme…
Kakou Ernest Tigori, Prix Mandela de littérature 2017, invite, à travers ses écrits, à une réflexion sur cette Afrique post-coloniale décadente, productrice de désordre et de misère. Amateur d'histoire de l'Humanité, sa logique rigoureuse dans l'analyse des faits et son courage font de lui un auteur qui sort des sentiers battus. Tigori se distingue de cette élite noire, majoritairement incapable d'autocritique, qui perd son temps en jérémiades au lieu d'être exigeante envers elle-même. Cet essai est la confirmation d'une réflexion produite depuis des décennies à travers ses précédents ouvrages et ses articles de presse.
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Intelligence artificielle à coups d'algorithmes et de moteurs de recherche… sommes-nous, déjà, vraiment soumis à un big brother data ? Heureusement que non. Même si, nous alerte Louis Belon, ces « outils, certes puissants, mais qui peuvent comporter des défauts et ne font qu'exécuter les opérations successives de celui qui les a conçus… ce n'est pas tant d'eux qu'il conviendrait de se méfier, mais du projet qui est à leur origine et de celui, individu ou organisme, avoué ou caché, qui les contrôle. » Scientifique d'une rigueur extrême (ce qui lui a permis de révolutionner le monde des… confitures !), l'auteur nous met en garde, évidemment, face à ce nouveau mirage intellectuel dont on nous rebat les oreilles et dont on entend dire n'importe quoi, tout et son contraire, par des journalistes approximatifs ou des pseudo-philosophes uniquement préoccupés de leur impact médiatique, au mépris de toute information rationnelle. Bref, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'Intelligence artificielle… sans oser le demander.
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Transhumanisme, avancées technologiques, inégalités technologiques, robotique, conquête spatiale, avenir terrestre, spiritualité, Covid, réseaux sociaux, solutions durables, guerre en Ukraine, mystères de la vie…
L'auteur ne s'était jamais intéressé à l'Intelligence Artificielle, faute de moyen et d'explication claire, s'agissant d'un esprit comme le sien, relativement éloigné des sphères scientifiques.
La mise en place récente d'une plate-forme facilement accessible l'a plongé dans une série d'entretiens brefs, permettant néanmoins d'aborder de nombreuses questions, en constatant que les réponses ouvraient souvent d'autres portes, développant des raisonnements inattendus.
Par exemple avec des interrogations sur des termes comme le wokisme, les Black Lives Matter ou sur les causes de la guerre en Ukraine, faisant apparaître cette considération (au détour d'un développement) : « Il n'est pas nécessaire de stopper complètement la coopération spatiale avec la Russie. »
Néanmoins l'Intelligence Artificielle ne cesse de nous mettre en garde, consciente de sa potentielle dangerosité : « Il est possible que l'IA accentue les inégalités économiques en automatisant certaines tâches qui sont actuellement réalisées par des travailleurs dans les pays moins développés, ce qui pourrait entraîner des pertes d'em­plois et une baisse du revenu.
Il est également possible que l'IA renforce les inégalités sociales en donnant accès aux technologies les plus avancées et les plus éducatives aux personnes qui ont les moyens de les payer, ce qui pourrait entraîner un accroissement des inégalités dans l'accès à l'éducation et à la culture, et ce qui est encore plus risqué, l'accès à la santé, et à la justice. »
Avec cette série de surprises que Richard Raczynski vous propose de partager, votre regard sur l'Intelligence Artificielle va probablement se modifier.
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9782353746125
Alain de Benoist, (...)
La philosophie a aujourd'hui un statut assez étrange. Elle est essentiellement le fait des enseignants du secondaire et des chercheurs spécialisés. Les enseignants cherchent à familiariser leurs élèves avec des concepts et des problématiques auxquels ils ne comprennent pas grand-chose, ce qui donne à la philosophie la réputation d'une matière très ennuyeuse. Les cher­cheurs, cooptés par leurs pairs, organisent des colloques en milieu clos et publient des articles dans des revues qu'à part leurs collègues personne ne lit. À côté de cela, on trouve une philosophie grand public, une sorte de « philosophie pour les nuls », où certains auteurs à la mode s'emploient à décrire de vagues notions philosophiques pour en faire un outil d'« épanouissement personnel ». Rien de bien enthousiasmant dans tout cela… alors que la philosophie est d'abord une façon d'être et une façon de penser. La philosophie permet le travail de la pensée. La philosophie n'est pas un domaine de la pensée, et moins encore une matière scolaire, elle est le fondement de toute pensée. C'est en cela qu'elle est indispensable. L'auteur poursuit dans cet ouvrage le projet initié dans Comprendre les philosophes, qui portait sur 26 auteurs. C'est un manuel didactique qui analyse cette fois 34 auteurs d'œuvres philosophiques. Pierre Le Vigan s'attache à montrer ce qui fait système dans les œuvres examinées. Il les resitue dans leur contexte et montre que la philosophie fait partie de la bataille des idées. Il montre comment ses formes ne cessent de se renouveler. Il indique aussi ses propres positions dans l'avant-propos. Theodor Adorno, Hannah Arendt, Francis Bacon, Jeremy Bentham, Auguste Comte, Nicolas de Cues, Démocrite, Denis Diderot, Jean Duns Scot, Epictète, Erasme, Marsile Ficin, Sigmund Freud, Hans-Georg Gadamer, Héraclite, Edmund Husserl, Soren Kierkegaard, Emmanuel Levinas, Rudolf Hermann Lotze, Machiavel, Marc Aurèle, Karl Marx, Maurice Merleau-Ponty, Parménide, Blaise Pascal, Plotin, Jean-Jacques Rousseau, Arthur Schopenhauer, Sénèque, Thomas d'Aquin, Giambattista Vico, Voltaire, Alfred North Whitehead, Ludwig Wittgenstein
Né en 1956, urbaniste de métier, l'auteur a collaboré à de nombreuses revues d'idées (Le Spectacle du Monde, La Nouvelle Revue d'Histoire, Éléments…). Il publie aussi sur divers sites numérique (Contre-littérature, Philitt, Livr'arbitres, Bvoltaire, Front populaire,…). Il a participé à des émissions de Radio Courtoisie et de TV Libertés. Ses travaux portent sur les questions philosophiques, politiques et sociétales. Il est diplômé en urbanisme (DESS Panthéon-Sorbonne et DEA de l'EHESS), en architecture (CEA), en psychopathologie (DESU), et est titulaire d'une maitrise d'AES. Il est aussi licencié en histoire et en philosophie. Il a publié notamment Inventaire de la modernité, Le malaise est dans l'homme, Le front du cachalot, Écrire contre la modernité, et, plus récemment, Métamorphoses de la ville, Face à l'addiction, Achever le nihilisme, Le Grand empêchement. Comment le libéralisme entrave les peuples.
31.00 €
9782353746071
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De nombreux ouvrages ont été écrits sur la peinture italienne à cette période foisonnante dans toutes les expressions artistiques de la Renaissance. Toutefois cet ouvrage a comme humble ambition de porter notre attention sur le symbolisme de l'amour et de la mort, thèmes définis à partir des topiques du réel et de l'imaginaire des artistes qui font également écho aux mécènes et au public avisé.  Comment la Renaissance a pu traduire dans la peinture des symboles exhumés en partie de l'Antiquité pour les faire revivre et en leur donnant une autre lecture parfois contradictoire avec les symboles religieux ?  On sait toutefois que la chronologie de la Renaissance peut être sujette à discussion, mais on s'accorde à la situer entre le milieu du XIVe siècle et le milieu du XVIe siècle, les grands noms des artistes peintres de cette période – Michel Ange, Sandro Botticelli, Raphaël, Donatello, Di Cosimo – sont tous inspirés par l'humanisme et le renouveau de la pensée néoplatonicienne et la thématique de la Théogonie d'Hésiode.  Vénus est née des flots de la mer, représentée debout dans un coquillage, elle est sensuelle, mais en même temps pudique, masquant son sexe derrière sa longue chevelure animée par le Zéphyr, comme dans les œuvres d'inspiration néoplatonicienne ; l'artiste est confronté à plusieurs niveaux de lectures entre la réalité, l'idéal et le naturel.  Alors qu'au Moyen Âge la création artistique était tournée vers la religion chrétienne, la Renaissance fait prévaloir des thèmes comme la tolérance, la liberté de pensée, la paix, l'éducation visant l'épanouissement de l'individu, si bien que le traitement artistique des représentations de l'amour et de la mort à travers l'expression corporelle sera différente. Jill-Manon Bordellay vous fait pénétrer dans cet univers extraordinaire…
Jill Manon Bordellay, Professeur de Philosophie, Docteur en Philosophie et en Littératures comparées et en Psychologie. Collaboratrice à l'Encyclopédie Universalis, différentes revues d'Art, de psychologie et des revues « alternatives végétariennes » et « Droit animal éthique et sciences ». Elle collabore au site EuroLibertés et au Petit journal de Valence, de Lisbonne, de Milan et de Berlin.
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Arnaud Landreau
Voici une mise en parallèle entre une histoire personnelle marquée par la maladie psychique, et « l'histoire avec sa grande hache », rythmée par l'éternel retour de la « Catastrophe » (le mot est de Walter Benjamin). C'est ainsi que s'entrecroisent poèmes mystiques, philosophie de la rédemption et une exégèse biblique montrant que le Royaume annoncé par le Christ est en fait une humanité divine, une humanité intégrale-ment mystique... C'est ce que l'on appelle la « communion des saints » ou encore « l'âge de l'Esprit-Saint » cher au mystique Joachim de Flore. Après un bref regard sur son passé d'étudiant, Arnaud Landreau peut affirmer ceci : « Je ne me reconnais absolument pas dans mes choix ! ». En suivant une formation en prépa HEC puis à Sciences Po Bordeaux, l'auteur a laissé la société lui dicter sa conduite. Semblable à l'albatros de Baudelaire, exilé parmi les hommes, il réalise plusieurs années plus tard que la cause de son malheur a été de ne pas s'être épanoui artistiquement. C'est ainsi que depuis 2007 il trouve son bonheur, la source de son équilibre, et le sens de sa vie dans la création artistique.
13.00 €
9782373556834
Arnaud Landreau
Ce texte est un témoignage autobiographique, centrée sur la description des symptômes de la maladie mentale dont je souffre, à savoir les troubles bipolaires...Entre des méditations aspirant au mysticisme et des descriptions hallucinées de mon alcoolisme, les femmes que j'ai connues ont eu le mérite de me sauver d'un naufrage qui aurait pu être fatal...Cheminant pas à pas, et au fil du temps, la philosophie et l'art se sont avérés être les outils incontestables de ma résilience, voire de ma guérison. Ceci est un message d'espoir pour tous les malades. Oui, on peut sortir de la psychose. L'essentiel étant de trouver sa voie, loin des sentiers battus, et cette voie, c'est tout simplement la voie du bonheur. « Vos idées procèdent d'une expérience existentielle vive et profonde dont on devine qu'elle a parfois frôlé les abîmes de la psychose. En être revenu, ne pas avoir sombré dans l'abîme est un exploit spirituel qui est à mettre à votre crédit. » Michel Hulin, philosophe à la Sorbonne Après un bref regard sur son passé d'étudiant, Arnaud Landreau peut affirmer ceci : « Je ne me reconnais absolument pas dans mes choix ! ». C'est ainsi que depuis 2007 il trouve son bonheur, la source de son équilibre, et le sens de sa vie dans la création artistique. Photo-collage de couverture par Patrizia Régio.
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9782373558005
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La créativité en état d'éveil est de même nature que le rêve durant le sommeil. Tous deux font appel à la même inspiration inexpliquée, aux mêmes éléments débusqués en psychanalyse, à des hypothèses extrahu-maines, scientifiques, symboliques… S'il est intéressant d'utiliser nos rêves dans la démarche créative, c'est à cause de la mystérieuse suBréalité dont ils sont issus et non uniquement pour l'étrangeté surréaliste de leurs représentations concrètes, puisées dans la réalité diurne. Car nous n'inventons rien ou pas grand-chose. Même en rêve, toutes les images ou presque sont issues de notre réalité éveillée et représentent les barreaux de notre prison d'humains. Nul ne sait vraiment d'où provient ce que nous captons. D'où naît la conscience que nous en avons. Ce qui lui donne du sens et si ce sens est partagé avec les autres. La notion de suBréalité, ou ce qu'il y a sous les apparences, nous accompagnera tout au long de ce second tome sur les origines possibles de la créativité et du rêve. Le mouvement suBréaliste est né de la volonté d'explorer et de découvrir ce que voilent les apparences, le sens de toute chose, toute vie, toute création, y compris des images du rêve. Un artiste est dit suBréaliste quand, volontairement ou non, il fait remonter des choses inconnues pour les présenter au public, puis tente d'expliciter sa démarche. Une œuvre est dite suBréaliste quand elle donne à percevoir des choses jusque-là ignorées... ou non. Une exposition est suBréaliste quand le public, lui-même dans une démarche suBréaliste, s'efforce de découvrir ce qu'il y a sous les apparences des œuvres et le cheminement des artistes. Visuel de couverture : François Pohu-Lefèvre
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Évolution : la preuve par le pied ! C'est avec humour et talent que le président des écrivains catholiques s'emploie à réfuter la vulgate évolutionniste dans un petit livre aussi vigoureux que dense. C'est qu'en effet « ce conte de fée pour grande personne », selon l'heureuse expression de Jean Rostand, a du plomb dans l'aile. Pourquoi alors persister dans l'affirmation de ce qui n'est pas prouvé ? Parce que, nous dit Daniel Raffard de Brienne, il n'y a pas de théorie de remplacement et, qu'au surplus cela sert encore les vues des matérialistes forcenés. C'est pourquoi, en simplifiant l'équation, peut-on dire, avec l'auteur, à la suite de Vladimir Volkoff, qu'il s'agit d'une véritable désinformation. Dans ces conditions : « Pourquoi des cælacanthes continuent-ils à nager tranquillement, sans changer d'une écaille, alors que d'autres auraient été les grands-pères de l'éléphant et du colibri ? » Autre argument massue si l'on peut dire : « Les cinq premières espèces animales apparaissent toutes en même temps au début de l'ère primaire. Or en effet, elles sont déjà réparties en sept embranchements : vers, éponges, oursins, méduses, crustacés, etc. dont les différences sont aussi grandes que de nos jours. » Le hasard de la probabilité de création d'une cellule vivante est vigoureusement réfuté en citant le mathématicien Georges Salet qui estime qu'il n'y avait pas une chance sur cent milliards de milliards que des séries de mutations aient formé un seul organisme pluricellulaire. Et le roman de l'évolution de dérouler sous la plume de l'auteur avec une réfutation par page dont celle qui précise, contrairement à un discours dominant, que « le singe et l'homme n'ont pas le même nombre de chromosomes et qu'on ne voit pas l'amorce de la moindre civilisation chez les simiens, car les seules sociétés animales organisées que l'on connaisse sont le fait d'individus dépourvus de cerveau, les fourmis et les abeilles. » De Lucy qui n'est pas notre grand-mère à l'homo erectus, au pithécantrhrope et à l'homme de Pékin, la galerie de nos pseudo-ancêtres est promptement rendue au néant (Olivier Pichon, Monde et Vie).
Daniel Raffard de Brienne (1927-2007), journaliste, écrivain et sindonologue, a été président de l'Association des Écrivains Catholiques de langue française.
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Yves Morel
L'origine du « mal français », sur lequel on a beaucoup écrit remonte à la constitution de notre nation, qui s'est formée et affirmée contre les prétentions hégémoniques du Saint-Empire et les orientations théocratiques de la papauté, et a constamment défendu sa spécificité et sa liberté. L'affirmation de sa pleine souveraineté la posa en défenseur de la liberté, mais l'obligea à instaurer chez elle un pouvoir monarchique puissant étayé sur une administration centralisée et hostile à tout changement qui aurait paru la remettre en cause, menaçant par là même l'identité et l'indépendance nationales. La Révolution française résulta de l'incapacité de la monarchie à évoluer. Son résultat le plus profond fut que la France, tout en rejetant résolument son passé monarchique, conserva les valeurs aristocratiques de l'Ancien Régime, les mêla à ses prétentions démocratiques, et finit par con­ce­voir la démocratie comme l'accès de tous aux signes tangibles de ces valeurs. Cela se révélant impossible, elle confia à son École le soin d'opérer une sélection méritocratique de son élite. Mais la persistance d'une hiérarchie sociale trahit la promesse égalitaire de la Révolution et laisse notre peuple perpétuellement insatisfait. Les Français, en définitive, se présentent comme des aigris toujours tiraillés entre une secrète aspiration individuelle à la condition aristocratique et une inextinguible revendication égalitaire.
Docteur ès lettres (en Histoire plus exactement), titulaire d'un DEA de Sciences de l'Education, diplômé de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Yves Morel a exercé diverses fonctions au sein de l'Éducation nationale, en particulier au rectorat de l'académie de Lyon. Il est auteur de nombreux livres.
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Nenikekamen ! « Nous sommes victorieux ! » C'est pour annoncer cette nouvelle de la victoire des siens contre les Perses à Marathon que le Grec Philippidès alla jusqu'au bout de ses forces physiques. Ce récit fondateur de l'histoire de l'Occident est aujourd'hui entièrement inversé. Les porteurs officiels d'informations ne meurent plus pour la patrie. Et c'est la patrie qui, déjà à bout de souffle, périt de leur emprise. Les médias dominants occidentaux mènent une entreprise d'extinction du pluralisme des opinions et de leur confrontation. L'étranglement de l'expression publique et la tyrannie médiatique aboutissent à une véritable syncope de la civilisation européenne. Face à cette immense menace, TVLibertés a forgé un modèle alternatif qui entraine un for­mi­dable mouvement de recomposition. Qu'est-ce qu'une authentique presse alternative ? Quels sont les obstacles qui se dressent devant elle, dans l'ignorance desquels le public est entretenu ? Quel est le rôle des plateformes vidéo dans le coup de force contre l'information et la liberté d'expression ? Répondre est un devoir. Ensemble avec Philippe Milliau, président de TVLibertés, nous avons cherché à donner toutes les pistes et les moyens de défaire « le parti des médias ». Ces réflexions et analyses constituent un ouvrage qui permet de définir les lignes de combat pour construireune presse vraiment libre. Défaire le parti des médias est un élément de destruction massive de la mortifère entreprise de standardisation idéologique des peuples menée par les médias de masse. Tout cela en mémoire de Philippidès.
Philippe MILLIAU, Président de TVLibertés. Il a fondé au cours d'une carrière professionnelle intense plus de quinze entreprises et associations. Amoureux d'Homère et de Nietzsche, sa vie est structurée par le combat politique identitaire et la défense de la civilisation européenne.
Martial BILD, Directeur général de TVLibertés. Journaliste et homme de communication, il est l'animateur de nombreuses émissions dont « Bistro Libertés ».Défenseurdel'espritfrançais, il enseigne aussi l'art oratoire comme forme d'expression de l'intelligence humaine.
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Nos sociétés en sont au point de rupture civilisationnelle. Il s'agit à présent de choisir entre un retour à l'ordre naturel et la Réinitialisation transhumaniste promise par le Forum économique mondial de Davos. Le Grand reset commence par la numérisation de l'Humanité et veut aboutir à la fusion l'homme et de l'ordinateur, le cerveau humain devenant l'interface de la machine. Nos élites sont adeptes de cette idéologie mortifère, celle d'un progrès sans limites ni conscience. MM. Macron et le canadien Trudeau sont à l'avant-garde de ce projet ultra-libéral, messianiste et totalitaire qui prétend instaurer une Gouvernance mondiale. Ces imposteurs sont parvenus au Pouvoir par le mensonge et la manipulation. Ils gouvernent des foules maintenues en état de choc permanent par les médias, dans la peur du Réchauffement climatique, de pandémies réputées létales, de la Russie néo impérialiste… Ce faisant ils trahissent la démocratie, les nations et les peuples qui les ont élus et il les conduisent inéluctablement à l'abîme.
Jean-Michel Vernochet, né en 1947 à Paris, initié entre autres aux subtilités de l'Orient au sein de l'École nationale des Langues langues orientales vivantes, a été responsable des Affaires francophones au Commissariat général de la Langue française puis chargé de la com­mu­ni­cation et des publications au Centre des hautes études sur l'Afrique et l'Asie modernes. Ancien grand reporter au Figaro Magazine, il est membre de l'Académie de géopolitique de Paris.
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9782353745906
Patrick Négrier
Cet ouvrage de philosophie est une exégèse des passages hébreux et grecs de la Bible sur les homosexualités masculine et féminine. Il montre que sur cette question, deux courants antagonistes coexistent dans les Écritures : un courant pro-homosexuel et majoritaire représentant le point de vue des princes, des prophètes et des maîtres spirituels, point de vue qui célébrait quatre formes moralisées d'homosexualité : le compagnonnage militaire, l'homosexualité pédagogique, l'amitié et la vie en couple ; et un courant homophobe et minoritaire représentant le point de vue des prêtres de la Judée post-monarchique (livres du Lévitique, de Judith et des Makkabés) qui sera adopté et suivi au Ier siècle par Paul de Tarse et par son disciple Luc. Le courant pro-homosexuel reconnaissait l'existence et la valeur de la révélation naturelle véhiculant avec elle le droit naturel et la loi morale naturelle, autant de réalités niées ou contestées par le courant homophobe. L'auteur déduit de son analyse et conclut qu'on ne peut lutter contre l'homophobie sociale et défendre les droits des homosexuels qu'en employant trois outils : le rejet de toute théocratie sacerdotale et la défense de la laïcité (ce qui est compatible avec la sécularisation de la société) ; la défense et la promotion de la révélation naturelle véhicule du droit naturel qui fonde la loi morale naturelle (ce qui est incompatible avec la profanisation de la société) ; et enfin la perpétuation et le développement de la culture de l'homosexualité inaugurée dans la Bible par trois monuments : le « décret » de pèlerinage annuel en mémoire de la lesbienne fille de Jephté, l'apprentissage et le chant du « Cantique de l'Arc » qui commémorait l'amour du bisexuel David pour son amant Jonathan, et enfin la reproduction du lavement des pieds, rite johannique d'hospitalité qui symbolisait notamment l'accueil à l'égard des homosexuels.
Patrick Négrier, né en 1956, est un philosophe français. Il étudia l'hébreu à l'Institut catholique de Paris en 1987-88, et fit des études de philosophie à la Sorbonne à l'Université de Paris IV. Il a publié une vingtaine d'ouvrages consacrés à la philosophie des cultures traditionnelles du Proche-Orient ancien (Égypte, Mésopotamie, Elam, Israël) et de la Grèce antique (Parménide).
51.00 €
9782353745845
Manuel Ramos
« Car découvrir de nouvelles histoires parfumées, in-connues jusqu'alors pour me faire vibrer, rêver, com-prendre pourquoi le monde est beau, lorsqu'on l'écoute avec la mélodie olfactive, qu'on le regarde avec son imagination, qu'on le touche du bout de son cœur, qu'on l'apprivoise de tout son amour, qu'on le goûte du bout de ses lèvres jusqu'à la lie, qu'on l'enlace de toute sa force et délicatesse… Un parfum pour moi est incontestablement et définitivement tout cela et bien plus que mes mots ne peuvent l'exprimer par l'écriture ou par la voix. » Couverture : Arômes d'amour, photo réalisée par Manuel Ramos©
14.00 €
9782373557275
Jill Manon Bordellay
Cette étude comparatiste entre deux poètes vivant à la même époque, avec des épreuves assez semblables,  permet une réflexion sur l'approche de la création à partir de la mort d'un être cher. La mort de leur mère, alors que les deux auteurs sont encore très jeunes, va intensément déterminer leur créativité.  Sorte de résilience, la création va faire revivre l'être absent et le plus marquant de l'enfance : la mère. Cette dernière va prendre les aspects multiples et inattendus, mais surtout obsédants – le rôle des femmes – dans les œuvres respectives.  La réalité des écrivains est alors déniée pour laisser libre cours au rêve, à l'étrange et, in fine, à la dimension inconsciente de chacun.  C'est ainsi que le rêve va prendre le pas sur la réalité, amenant à penser que la mort n'est pas un terme clos, défait de sens, il est personnifié, il n'est pas néant et séparateur de l'existant, mais devient, grâce à l'écriture poétique, un trait d'union entre le monde réel et le monde imaginaire.  « Le rêve est une seconde vie », écrit Gérard de Nerval dans Aurélia.  C'est bien l'écriture qui assure la continuité des poètes à travers les étapes de leur vie. La mort devient l'aboutissement alors de l'œuvre humaine ainsi que de l'œuvre créée. C'est pourquoi le poète est un passeur, selon l'expression de la mythologie grecque attribuée à Charon. Mais pour l'heure, le passage est réversible entre l'univers du désir et l'univers du destin.  Le parallélisme entre ces deux sensibilités poétiques est ressenti par le fait que Gérard de Nerval et Edgar Allan Poe ont vécu tous deux des périodes extrême­ment difficiles : dépressions, tentatives de suicide, problèmes financiers gra­ves, abandons répétés des femmes aimées…  Les seules personnes attentives qui les soutiendront, seront leur tante : Maria Clemm pour l'auteur américain et Jeanne-Anne Labrunie pour l'auteur d'Aurélia. Le contexte social et psychologique va contribuer également, comme creuset, à une forme littéraire atypique de leurs styles toutefois différents.  Avec leur œuvre, la mort n'est plus un fait banal, anonyme, quotidien qu'on ne remar­que même pas ; elle devient cérémonie ritualisée et accompagnée de l'amour. La femme est à la fois la victime, mais aussi l'initiatrice permettant d' entrer dans le domaine mystérieux de l'inspiration poétique. L'idée obsédante du manque de la mère conduit le poète à travers le monde secret de l'intuition créatrice. De l'absence de la mère naît ainsi la femme présente en l'œuvre qui s'origine dans la vie.  Si chez Gérard de Nerval, elle est éthérée à la fois un ange, une fée lointaine, une sirène aux cris étourdissants, toujours inaccessibles alors chez Edgar Allan Poe, elle vit pour mourir en se réincarnant, elle a toutes les caractéristiques d'une « inquié­tante étrangeté » ; restant, alors une femme accessible et fidèle. Une seconde naissance se fera par la mère « morte », celle qui conduit à attiser l'imagination. La mère comme archétype de la femme, guide initiatiquement ces deux poètes à travers les arcanes de la mort. Ainsi, l'art poétique côtoie la mort pour mieux naître la vie.
Jill Manon Bordellay, Professeur de Philosophie, Docteur en Philosophie et en Littératures comparées et en Psychologie. Collaboratrice à l'Encyclopédie Universalis, différentes revues d'Art, de psychologie et des revues « alternatives végétariennes » et « Droit animal éthique et sciences ». Elle collabore au site EuroLibertés et au Petit journal de Valence, de Lisbonne, de Milan et de Berlin.
25.00 €
9782353745760
Alain de Benoist
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, Carl Schmitt est de plus en plus souvent cité en référence aux événements qui se déroulent sous nos yeux. Certains sont même allés jusqu'à faire de l'auteur de La notion politique l'inspirateur secret de la politique de la Maison-Blanche.  Cette thèse est bien sûr insoutenable. Ce qui est en revanche certain, c'est que toutes les grandes thématiques schmittiennes sont directement impliquées dans l'évolution récente de la politique internationale. La guerre menée en Irak par les États-Unis marque un retour à la « guerre juste », moralo-humanitaire, où l'ennemi devient une figure du Mal, dont Carl Schmitt avait dénoncé les effets dévastateurs.  L'avènement d'un terrorise « global » renvoie directement aux thèses exposées par Schmitt dans sa Théorie du partisan. L'instauration dans les pays occidentaux d'un état d'exception qui tend de plus en plus à devenir permanent ne peut se comprendre qu'en référence à ce qu'il a pu écrire sur le « cas d'exception ».  Enfin, l'effondrement du duopole américano-soviétique, qui a mis fin à l'après-guerre, annonce de toute évidence la naissance d'un nouveau monde. ainsi que Schmitt l'avait prévu dès 1950 dans ses écrits sur les « grands espaces », la dualité Terre-Mer et l'instauration d'un nouveau « Nomos de la Terre ».
21.00 €
9782353745791
Piotr Plauszewski
Lettre de guerre à V. Poutine est un J'accuse, adressé au criminel de guerre. Auteur, essentiellement d'essais, des textes de conscience et de réflexion sur des thèmes de société, Piotr Plauszewski est originaire de Kamianets-Podilskyï, en Ukraine.
10.00 €
9791095492498
Jacques Lis
Le Réel est ce qui troue la réalité ! Dans la réalité, des singularités peuvent se manifester de manière importune et même brutale. Des choses impensables ! Ainsi le Réel s'y signale-t-il étrangement par son irréalité, à l'œuvre parfois dans la vie courante et, de façon exemplaire, dans les traumatismes ou dans la psychose. Autant de figures du Réel, traduisant un retranchement de la symbolisation qui leur donne ce caractère insensé, voire impossible, asymbolique, et dans lesquelles le sujet ne trouve pas de place. Le présent essai se propose la gageure de cerner cette élision propre-ment insaisissable, et de tenter de répondre aux questions qu'elle entraîne. Pourquoi le Réel est-il traumatique ? Peut-on le représenter ? Comment le Réel existe-t-il ?
Jacques LIS, docteur en psychologie, psychologue clinicien et psychanalyste à Paris, a consacré une longue pratique dans le champ psychiatrique à l'écoute des psychoses et des traumatismes psychologiques. Dans le domaine de l'art, il a développé une réflexion sur la peinture.
18.00 €
9782373556940